Cosette – Alain Paraillous

Le résumé :

C’est l’histoire d’une petite fille qu’on appelait Cosette. Sa maman la laissa chez des aubergistes qu’on appelait les Thénardiers et qui ne lui donnaient  rien à manger .

La Thénardier ordonna à Cosette d’aller remplir le seau d’eau, elle y alla et passa devant une boutique de jouets. Elle vit alors une poupée ; elle resta devant à la regarder mais elle pensa aux Thénardiers alors elle courut aller remplir  le seau.

A l’entrée du bois, elle alla au puits, elle remonta le seau et elle se mit à pleurer. Le seau était trop lourd, elle disait «je ne peux pas, je ne peux pas ».

Tout à coup, le seau devint moins lourd. Cosette leva les yeux et vit un homme.

Il lui porta son seau jusque chez les Thénardiers. La petite dit : « tu peux me rendre le seau parce que Mme Thénardier n’aime pas cela … ».

C’était Jean Valjean.

Ce Jean Valjean était un monsieur très connu. Au moment de décéder, la maman de Cosette avait dit  à Jean Valjean « Quand je serai décédée ,vous vous occuperez de ma fille, le monsieur tint sa promesse.

Jean Valjean rentra chez les Thénardiers. Voyant que Cosette était mal traitée, il lui offrit la poupée qu’elle avait vue.

La petite fille mit son soulier en bas de la cheminée et alla se coucher. Jean Valjean mit une pièce d’or dans le soulier de Cosette.

Qu’allait-il se passer ?

La critique :

Ce livre raconte l’histoire d’un personnage d’un des livres de Victor Hugo, « Les Misérables » qu’il a écrit en 1862.

Le livre m’a plu car c’est l’histoire d’une petite fille et j’aime cela.

Les personnages était simples et bons sauf deux qui étaient méchants.

Mon personnage préféré est Cosette.

Le langage employé est soit familier soit soutenu.

Le début est rapide. Et l’écriture est plutôt soignée.

Le livre est un peu triste parce que c’est l’histoire d’une petite fille qui a perdu sa maman.

Clémence Paquelin – CM2 – Ecole Anne Frank- Danjoutin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2 thoughts on “Cosette – Alain Paraillous

  1. Très belle façon de raconter ce beau passage de l’incontournable monument de la littérature française qu’est le roman « Les Misérables » de Victor Hugo.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

En savoir plus sur deslivresenmots

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading